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mjsmeudon

31 janvier 2008

McCain s’impose, Giuliani se décompose

crash_iced_039Rudolf Giuliani avait tout pour plaire. Il était et restera le symbole de l’Amérique conquérante au lendemain du 11 septembre et le porte parole des minorités. Malheureusement, il a trouvé plus fort que lui et aujourd’hui, il vient d’annoncer son retrait de la campagne républicaine. Il n’aura donc jamais réussi à s’affirmer dans cette campagne, toujours devancé par ses adversaires. Arrivé troisième des suffrages en Floride avec 15% des voix, Giuliani vient de voir ses chances de remporter les primaires républicaines, s’anéantir. CNN dénonce déjà « la pire campagne du millénaire ». Retour sur cet échec politique

Au début des primaires, les meilleurs bookmakers américains étaient prêts à parier 5,5 milliards sur un duel Clinton-Giuliani pour les futures élections présidentielles. Pendant un an, il a devancé de plus de 10% ses concurrents directs dans les sondages. Mais la stratégie de l’ancien maire de New York a échoué et le voila aujourd’hui devant la porte de sortie. Il avait choisi de rester discret pour les premiers caucus, préférant laisser les McCain et autres Huckabee se déchirer pendant que son équipe préparait plus activement les primaires de Floride. Cet État représentait un enjeu majeur dans ces primaires car le candidat arrivant en tête des suffrages était assuré de bénéficier de la totalité des votes des 57 délégués de cet Etat.

Florida Bus Tour

Il sera donc resté un mois dans dans le sud, afin de présenter les mesures phares de son programme comme la baisse des impôts ou la sécurité nationale. Il aura traversé tout l’Etat en bus, se rendant de cafés en restaurants et de restaurants en maisons de retraite pour répéter, à qui voulait l’entendre, qu’il était le meilleur candidat pour les républicains. Seulement voilà, seuls ses adversaires ont su tirer leurs épingles du jeu et arriver avec un mental, et surtout une image, de vainqueur en Floride, leur permettant de devancer Giuliani.

Les critiques affluent

Certains lui reprochent déjà de ne pas avoir su présenter un programme économique répondant aux problèmes économiques du pays. Lorsque les militants républicains l’interrogeaient sur la menace de la récession américaine, il préférait mettre en avant ses projets concernant la sécurité nationale. Ainsi selon un sondage réalisé par CNN, Giuliani arrivait en quatrième position des candidats républicains ayant le plus de compétences en matière d’économie. Monsieur « tolérance zéro » n’aura donc pas réussi à devenir le candidat républicain de l’ouverture. Il restera le candidat capable de se déclarer en faveur du mariage gay, de l’avortement et d’une loi contre le port d’armes mais en faveur de la guerre en Irak. Il aura fait une erreur de taille en matière de stratégie politique en décidant de snober les Etats de l’Iowa et du New Hampshire, qu’il jugeait trop conservateurs pour ses idées.

Ses détracteurs affirment que Giuliani passait son temps, durant ses meetings à rappeler qu’il était le héros de l’Amérique du 11 Septembre, date qui devenait pour lui une vrai obsession. Enfin, il semblerait que Giuliani ait payé son absence des plateaux des grands médias américains. Les électeurs républicains ont donc préféré faire confiance à l’ancien vétéran du Viêt-Nam John McCain pour les questions relatives à la guerre en Irak ; au millionnaire Mitt Romney pour les questions d’argent et laisser Rudy seul avec ses prises de positions qui n’ont semble t-il par leur place dans le camp républicain. Giuliani n’aura donc pas réussi à séduire les + 65 de ans qui représentent plus d’un tiers des électeurs en Floride. Un sondage a révélé aujourd’hui que le principal sujet de préoccupation des électeurs républicains dans cet Etat était l’économie, suivit par le terrorisme et la guerre en Irak. McCain aurait reçu le soutien d’un électorat modéré, et d’une partie importante de la communauté hispanique pour devancer Mitt Romney.

Giuliani to endorse MCCain

Aujourd’hui, il semble que la voie soit toute tracée pour le candidat John McCain. Dans le discours annonçant son retrait de la campagne, Giuliani a déclaré que McCain était le candidat le mieux placé, selon lui, pour devenir le prochain Président des États Unis d’Amérique. Giuliani a rajouté qu’il soutenait en premier son ami et qu’il pourrait dormir sur ses deux oreilles si McCain était élu Président. Ce dernier devrait remporter les Etats du nord et particulièrement ceux qui étaient destinés à l’ancien maire de New York ; Huckabee et Romney devraientt se partager les miettes. McCain remporte en Floride 57 délégués supplémentaires pour la convention républicaine et apparaît comme le grand gagnant de ce scrutin. En hommage à son ancien adversaire, McCain a déclaré « Je veux saluer mon cher ami Rudy Giuliani, qui a mis tout son cœur et son âme dans cette primaire et qui s’est conduit avec toutes les qualités des chefs américains d’exception, ce qu’il est vraiment. Merci Rudy pour tout ce que tu as mis dans cette course et pour avoir une inspiration pour moi et des millions d’américains. »Les républicains n’étaient donc pas prêt à accueillir les idées libertaires de Giuliani, l’ancien maire de New York aurait peut être rassemblé plus de voix dans le camp démocrate.

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7 novembre 2007

M.Sarkozy n’aura pas à se lever plus tôt pour gagner plus...

19000 euros : non, cela ne correspond pas à l’équivalent de 19 mois de salaires nets pour un smicard, ni au prix d’une semaine de vacances à Wolfeboro aux Etats unis dans une villa au bord d’un lac mais au nouveau salaire du Président de la Républiqe.

L’ancien Maire de Neuilly est au pouvoir depuis seulement sept Mois et cette réforme est présentée comme étant une priorité, voir même une nécessité. Toujours dans une logique de rupture, M.Sarkozy a souhaité mettre fin dit-il à un régime où régnait l’opacité. Oui mais voila, à travers les lignes nous avons bien compris qu’il s’agissait plutôt de faire oublier les rapports mystiques entre son prédécesseur et l’argent.

Au delà du fond et des justifications données à l’augmentation du salaire présidentiel, c’est bien sur la forme et le moment choisis qui soulèvent de nombreuses critiques. C’est d’ailleurs de ce point de vue que le débat existe et non en ce qui concerne l’augmentation en elle-même.

Encore une fois, nous nous sommes fait avoir par la rhéthorique culpabilisante du Président Sarkozy. Cette tactique politique consiste à utiliser la manière forte pour faire passer des réformes et faire en sorte que les critiques et la presse, en générale, s’attardent non sur le fond mais sur la forme. Ainsi après coup, le Présiédent peut a son aise reprendre le dessus et s’appitoyer devant les micros sur l’acharnement médiatique dont il est victime. Dès là, la réforme passe, les sondages suivent le sentiment de culpabilité créé par Sarkozy et l’image de notre Président en ressort renforcé.

Que ce soit son voyage à Malte au lendemain de son élection, ou la question de l’amendement sur les tests ADN, la même méthode est employée. L’opposition critique en masse la forme utilisée et Sarkozy répond sur le fond. Notre Président se comporte comme s’il se situait au dessus de toutes les lois au dessus de tous les principes et au final au dessus de tout.

C’est vrai vous avez raison, M.Sarkozy, pardonnez nous d’avoir soulever la question de votre surprenante augmentation, pardonnez nous d’avoir pensé à un moment qu’à la sortie d’un mouvement social aussi fort que celui du 18 Octobre dernier, le moment que vous aviez choisi n’était pas forcément le meilleur. Enfin pardonnez nous d’avoir une seule seconde pensé qu’une augmentation pareille méritait plus de justifications.

Son dîner au Ritz au soir de sa victoire, son séjour à Malte, ses vacances dans une villa américaine nous avait montré que le Président avait de l’argent et qu’il aimait le montrer. L’augmtentation de son salaire de 140% nous montre que Nicolas Sarkozy veut plus d’argent et qu’il veut qu’on le sache.

Là où, De Gaulle remboursait les croissants qu’il s’achetait, où là ou Jacques Chirac prenait le soin de se cacher pour passer ses vacances à l’île Maurice, M.Sarkozy, lui, serait capable de manger fièrement des croissants sur les plages de l’île Maurice devant des journalistes de Paris Match.

Le soucis d’opacité et l’allignement sur le salaire du Premier ministre et sur celui des principaux dirigeants du monde sont des arguments louables. Le métier de Président est éprouvant autant physiquement qu’intellectuelement et il mérite un salaire à la hauteur des efforts qu’il nécessite. Mais c’est aussi une profession qui recquiert de la parcimonie et de l’humilité.

Se prétendre être le président de tous les français, c’est aussi prendre en compte le fait que pour certains d’entre nous de telles sommes d’argent peuvent choquer.

Plus encore, la rapidité pour mettre en place cette réforme peut interpeller. Certains pouraient croire que les réformes se mettent plus vite en place lorqsqu’il s’agît d’augmenter le salaire du Président plutôt que de changer le quotidien des français.

Dans la lignée de ses propos sur le karcher et sur les racailles, M.Sarkozy a une nouvelle fois fait usage de sa tactique qui consiste à se positionner en victime pour mieux contre attaquer.

A ce jeu là notre Président est très fort, son passé d’avocat lui a appris que pour mieux se défendre il n’y avait rien de tel que de prendre les gens par les sentiments.

Gautier Kertudo

1 novembre 2007

Sarkozy-Royal, le choc en 2 minutesenvoyé par


Sarkozy-Royal, le choc en 2 minutes
envoyé par basileblog

Souvenez-vous il y a quelques mois lors de ce débat M.Sarkozy semblait donner des leçons de self-control à madame Royal, quelques mois plus tard voila un extrait assez surprenant d'une interview pour CBS...


Nicolas Sarkozy CBS News
envoyé par Hugues2

1 novembre 2007

Les Jeunes socialistes de Meudon existent

Depuis Juin 2006 et le dernier message posté sur ce blog, le monde a évolué, notre président a changé, il est donc grand temps de reprendre les choses en main.Les dernières élections présidentielles nous ont montrées combien il était important de s'engager et de défendre ses idées.

La démocratie participative, aussi critiquée qu'elle a pû l'être, nous a prouvé que l'avis de chaque citoyen pouvait être entendu.La politique s'adresse a tous et franchît chacune des barrières sociales, à nous d'en profiter.

Notre génération doit non seulement profiter des outils de communication comme internet, mais elle doit aussi s'en servir pour faire valoir ses idées.

Ce blog doit permettre à chacun de construire son engagement politque et militant, à travers de simples commentaires ou des articles.Sans oublier que derrière cette page virtuelle il existe un groupe des jeunes socialistes de Meudon. 

11 juin 2006

3...2...1

ET Voici le PROjet du parti socialiste  : http://www.parti-socialiste.fr/tiki-index.php

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15 avril 2006

vidéo

25 mars 2006

Campagnes nationales

guerrealajeunesseVOici les dernières campagnes du Mjs au niveau national que tu peux retrouver sur le site http://www.mjsfrance.org

droiteattaquesilenceg1

24 mars 2006

Pierre Mendes France

totoLes jeunes socialistes de Meudon et du Plessis Robinson ont choisi de se nommer "le groupe Pierre Mendès France" en hommage au célèbre homme politique dont voici une courte présentation :

Pierre Mendès France est né à Paris, le 11 janvier 1907. A l'âge de 15 ans, il obtient son bac et il entre l'année suivante à l'Ecole libre des sciences politiques. En 1924, Edouard Herriot conduit le Cartel des gauches. Le jeune Pierre adhère au Parti radical et milite à la LAURS (Ligue d'action républicaine et socialiste). Avec ses camarades, il fait le coup de poing contre les Camelots du roi de l'Action française.
Trois ans plus tard, il devient Secrétaire général de la section de la LAURS. Il devient le plus jeune avocat de France. En 1928, Mendès-France fait son service militaire comme caporal dans l'aviation ; au sein du Parti radical, fait partie des Jeunes Turcs, avec Jean Zay, Pierre Cot et Jacques Kayser. Il s'installe l'année suivante comme avocat à Louviers, dans l'Eure. Le deuxième livre ouvrage de Mendès-France, paru en 1930, La banque internationale. Contribution à l'étude du problème des Etats-Unis d'Europe, reçoit un accueil chaleureux et commence à imposer PMF comme un économiste reconnu. Aux élections de 1932, il est élu député de l'Eure ; il est le plus jeune député de France. Son premier grand discours économique à la Chambre des députés en 1934, lui vaut l'approbation publique de Léon Blum. L'année suivante, il est élu maire de Louviers. Après sa réélection comme député en 1936, Mendès-France est le seul à voter contre la participation de la France aux Jeux olympiques de Berlin. Pierre Mendès-France soutient le Front populaire, mais il est en désaccord sur la politique monétaire et la non-intervention dans la guerre d'Espagne.

Pierre Mendès-France devient le plus jeune sous-secrétaire d'Etat au Trésor dans le deuxième gouvernement Blum du Front populaire en 1938, il élabore, avec Georges Boris, le premier plan de développement économique proposé au Parlement, mais le gouvernement est renversé avant qu'il ne soit appliqué.

La guerre éclate en 1939 et Pierre Mendès-France est nommé lieutenant de réserve dans l'aviation au Levant. Il ne parvient pas à être affecté dans une unité combattante. Il est arrêté à Casablanca en 1940 et incarcéré à Clermont-Ferrand pour désertion. Il est condamné en 1941 à six ans de prison lors d'un procès inique, mais il s'évade. Il vit pendant quelques mois dans la clandestinité ; enfin il rejoint De Gaulle à Londres. Choisi comme commissaire aux Finances du Comité français de libération nationale en 1943, il élabore le plan de redressement de l'économie française. Il est confirmé dans son poste dans le Gouvernement provisoire, Pierre Mendès-France s'oppose à la politique plus facile prônée par René Pleven. De Gaulle choisit la politique de Pleven, PMF, partisan de la rigueur, démissionne. Dans la foulée, il est élu Président du Conseil général de l'Eure.

La période1946-1951 est pour lui le moment où il s'éloigne de la politique. Il travaille au sein de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), Conseil économique et social de l'O.N.U., puis du FMI. Au début des années 50, il retrouve son siège de député de l'Eure. Cette nouvelle situation lui permet de commence à intervenir au Parlement contre la guerre en Indochine. Dans cette même lignée, il défend à Tunis plusieurs militants indépendantistes tunisiens.
En 1953 il manque de peu l'investiture comme président du Conseil ; il est élu président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale.

(Sources : http://pluriel.free.fr/PMF.html et http://www.wikipedia.fr)

24 mars 2006

S’adapter ?

Etre optimiste est

un devoir moral, K.R Popper

Le mot réforme a longtemps signifié « progrès social », amélioration par petites touches, par opposition soit aux changements radicaux de la révolution soit à la défense de l’ordre établi par la droite conservatrice. Cette droite se proclame maintenant réformiste, vante l’entrée dans la modernité, le dynamisme et qualifie la gauche de conservatrice. Pas un discours où elle ne vante la nécessaire adaptation à la modernité. Le problème c’est qu’on ne change pas forcément d’idée en changeant de vocabulaire.

Au long du XXéme siècle, progrès, réforme et modernité se sont associés dans la construction d’un Etat social assurant une redistribution des richesses et l’accès pour tous à des biens publics. Aujourd’hui la modernité vantée par Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy consiste à se débarrasser de tout cela. Le passage du conservatisme au réformisme n’a donc rien d’étonnant, la droite conservatrice d’hier refusait le progrès social; maintenant qu’il s’est mit en place, son réformisme consiste à s’en débarrasser ; ceci pour nous précipiter dans une concurrence sauvage, où les seules armes sont la baisses des salaires et des protections, nous présentant les Etats-Unis comme symbole de la modernité économique. Mais peut-on avoir pour modèle une superpuissance, qui se classent première partout (PIB, militaire, influence politique) à part dans l’indicateur de développement humain ?

Il y a quelque chose de terriblement anti-politique dans ce discours d’une adaptation à la modernité, cette dernière viendrait-elle donc d’elle-même ? « L’avenir est ouvert » écrivait le philosophe Karl Popper et c’est bien dans cet avenir ouvert que peut exister la politique. Ce n’est pas la modernité du 20éme siècle qui a amené l’éducation ou la sécurité sociale, mais la volonté d’hommes et de femmes engagés. La politique de la droite de ces dernières années n’est pas une adaptation, rien ne l’obligeait à baisser l’impôt uniquement pour les plus aisées pendant qu’elle réduisait la couverture maladie universelle, coupait dans les crédits de la recherche et multipliait les facilités de licenciement. Ceci constitue une orientation politique, la qualifier de moderne ou de nécessaire, n’est qu’une manière de cacher ses choix politiques derrière des adjectifs positifs. Bien sur il n’est pas question d’oublier toutes les difficultés économiques, politiques ou démographiques. Mais il y a d’autres choix possibles que ceux que fait la droite, le parti socialiste l’a montré au pouvoir, protection contre les licenciements abusifs, réduction du temps de travail, création d’emplois jeunes, ceci sans que l’économie ne s’effondre (les chiffres de l’INSEE en témoignant sans difficultés…). La politique menée ces trois dernières années témoigne d’un choix, refus de réduire les inégalités, refus d’assurer à tous l’accès à des biens publics, d’autres sont possibles et le parti socialiste se veut une alternative pour les mettre en œuvre.

24 mars 2006

Présentation

mjshautEn 2007, les Français devront élire un nouveau président, en tant que membre du mouvement des jeunes socialistes nous voudrions te convaincre que ce ne sera pas simplement un match électoral, un événement qui finirait le lendemain de l’élection, pour qu’ensuite chacun revienne à ses préoccupations quotidiennes. C’est l’avenir de tous qui est concerné. Il y a quatre ans l’actuel président a décidé de ne pas entrer en guerre avec l’Irak. Peut-on considérer cette décision comme lointaine, inintéressante. Peut-on se désintéresser de savoir si son pays va mener une guerre, et du coup décider de la vie ou de la mort de milliers d’hommes ? Cet exemple est assez consensuel, mais si la politique a toute son importance, ce n’est pas uniquement par ses effets sur l’avenir de tous, c’est aussi qu’il y a des choix à faire, parce que contrairement à ce que prétendent certains, il n’y a pas qu’une seule politique possible.

Ces dernières années le gouvernement a augmenté la durée du temps de travail, réduit les cotisations versées en cas de chômage pendant qu’il baissait l’impôt sur le revenu des plus aisés. Il a aussi mis de nombreux jeunes dans la rue avec la loi Fillon ou le Contrat Première Embauche. Et quand le maire de Neuilly, Nicolas Sarkozy, ne construit que 3% de logement sociaux dans sa ville (alors que la loi l’oblige à en construire 20%), c’est un projet de société qu’il y a derrière, projet où l’on refuse l’unité d’une nation pour mettre d’un coté les plus riches, de l’autre les plus pauvres. Sur tous ces points, des politiques différentes peuvent être menées. Et pour qu’elles le soient, il faut se mobiliser.

Les candidats qui se présenteront en 2007 seront, pour la plupart, désignés par les partis. Ce sont quelques centaines de milliers de militants qui désigneront des candidats faisant des propositions pour l’avenir de 60 millions de Français. C’est une situation difficilement acceptable où les différents choix proposés aux citoyens sont eux-mêmes déterminés par une fraction très faible de la population. Il est important que chaque citoyen prenne part aux débats. Pour cela les partis sont un lieu essentiel où, sous une orientation commune, ont lieu de nombreux échanges, débats et réflexions. S’engager, c’est ne pas laisser les autres décider pour soi et chercher concrètement à faire progresser ses idées.

En t’engageant au MJS, tu pourras :

  • T’informer, avec des assemblées générales sur l’actualité politique, mais aussi récemment une réunion d’information sur les prisons

  • Débattre de tes idées avec d’autres jeunes

  • Participer aux actions menées par le MJS

Si tout cela t’intéresse nous t’y accueillerons avec plaisir

Le groupe du MJS de Meudon et du Plessis Robinson

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